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Les premiers accords des bilans résonnent, et la mélodie des marchés se fait entendre. La richesse privée nette, mesurée en dollars, a connu une chute de 11 300 milliards, une danse complexe qui a abouti à la somme de 454 400 milliards de dollars fin 2022. L’aisance matérielle par adulte a également fléchi, réduisant la symphonie de 3198 dollars, mais laissant encore une harmonie de 84 718 dollars par adulte.

C’est l’appréciation du dollar qui a orchestré une grande partie de cette valse financière. Les placements financiers ont mené le bal de la décadence en 2022, tandis que les placements immobiliers ont résisté vaillamment, bravant la cadence rapide des taux d’intérêt.

Les régions aisées, telle une chorale désaccordée, ont vu leur richesse fondre, l’Amérique du Nord et l’Europe perdant à elles seules 10 900 milliards de dollars. Cependant, tel un soliste émergent, l’Amérique latine a étonné en augmentant sa richesse totale de 2400 milliards, soutenue par l’élégante danse d’une monnaie appréciée. Le spectacle de l’économie s’est poursuivi, une valse des pertes et des gains sur les marchés, avec les États-Unis, le Japon, la Chine, le Canada et l’Australie tour à tour sous les projecteurs.

L’orchestre des inégalités mondiales a également joué sa partition, les riches 1% réduisant leur domination à 44,5% de la richesse totale. Tandis que certains acteurs ont quitté la scène, d’autres sont apparus, les millionnaires en dollar diminuant mais la richesse médiane mondiale augmentant, une métamorphose étonnante.

Cependant, le rideau ne tombe pas sur ce tableau financier. Les projections révèlent un avenir prometteur, une mélodie d’espoir. La richesse mondiale se prépare à une ascension majestueuse de 38% sur les cinq prochaines années, un crescendo financier qui résonnera jusqu’en 2027. Sur cette scène mondiale, les marchés à revenus moyens danseront au premier plan, guidant la symphonie économique vers de nouveaux sommets. La richesse par adulte, telle une note montante, atteindra 110 270 dollars en 2027, tandis que les millionnaires et les fortunés se multiplieront en une multitude éblouissante.

Iqbal Khan, chef d’orchestre chez UBS, souligne la portée du spectacle financier, reliant les nuances de la richesse pour en faire profiter la société toute entière. Une réflexion profonde, orchestrée avec précision, qui résonne dans chaque note du Global Wealth Report 2023.

Et ainsi, le rideau se lève sur cette étude, une œuvre d’art financière qui transcende le temps, prête à influencer les acteurs de l’économie mondiale. Un récit financier écrit en chiffres et en lettres, une symphonie économique qui continuera de résonner bien après que la dernière note ait été jouée.

Nous noterons que, a contrario de la tendance mondiale qui voit le nombre de millionnaires baisser, le nombre de millionnaires en France est en constante augmentation.

L’épilogue de cette partition financière révèle une Belgique rayonnante à l’échiquier de la richesse, conquérant non seulement le trône médian, mais aussi le regard des chiffres enregistrés. À la onzième note, le pays révèle une richesse moyenne de 352 810 dollars, élevant ses notes avec un éclat retentissant. Les millionnaires fleurissent comme autant de solistes, 536 000 artistes de la prospérité, éblouissant une scène mondiale de 59 millions de regards. Ainsi, dans cette grande symphonie financière, la Belgique, telle une diva des temps modernes, harmonise sa place en tête de liste, accompagnée par des accords australiens et hongkongais dans une danse globale de richesse et d’espérance.